La transformation digitale tend à devenir l’enjeu capital des sociétés. Elle supplée à la qualité totale, au Lean Management ainsi qu’au Downsizing qui étaient des investissements forts dans les années 90 et 2000. De nos jours, pour percer, il faut se conformer aux nouveaux systèmes de business engendrés par la digitale.
Influence de la transfo-digitale
Derrière l’utopie du tous les connectés, la transformation digitale, c’est a priori un bouleversement profond des affaires et conséquemment des emplois et des qualifications. Sans tomber dans le mirage du tout ubériser ou robotiser, le programme va considérablement influer sur l’essor des professions et des capacités.
Et lorsqu’un réseau bancaire réexamine intégralement la planification de ses offices, un département de distribution sa manière de commercer, un patron d’industrie son profil de service après-vente, c’est approximativement la totalité de ses fonctions qui sont influencés. Des aptitudes neuves pointent et d’autres se volatilisent. Le désir d’initiation devient plus conséquent.
Se former pour mieux avancer
Compléter la transformation digitale par la formation, c’est appliquer 2 démarches principales et 4 pratiques prioritaires : passer de GPEC GREC afin d’affronter la disparition des ex-professions et l’émergence des nouveautés, interpréter les actions de la transfo sur les services et les connaissances innovantes à acquérir, fonder des circuits de formation multimodaux afin de permettre l’achat de ces compétences neuves.
Cette technique permet d’installer une dynamique de daily learning pour se conformer aux besoins continuels de pratique et de découverte. De même, cela aide l’engagement des managers dans la préparation des apprentissages à contiguïté du travail, la mobilisation des associés sur la prise en charge de leur évolution des aptitudes au quotidien et en somme les pousser à adopter une learning attitude.
Ce n’est seulement qu’à ces conditions que le management formation prouvera sa valeur ajoutée devant l’enjeu de la conversion digitale.